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Ci-dessus,
la machine sans échappement et avant de se voir enlever
son refroidissement |
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On
constate sur ces photos que le bras oscillant ainsi que les
platines repose-pieds sans oublier les bords de jantes ont
été polis à la main : papier à
poncer puis passage à l’Autosol Polish... Mes
bras et mes mains s’en souviennent encore !!!
Plus de 80 heures de travail et d’efforts pour un résultat
satisfaisant sans être enthousiasmant : mais la belle
vaut bien quelques moments de folie et de passion. Il fallait
lui donner un peu d’éclat pour se démarquer
de ses consoeurs...
Mais c’était un travail de titan !!! |
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Après
tout ces démontages, il ne reste plus grand chose de
la moto. Quelques pièces à traiter.... |
Le
collecteur a d’abord été poncé à
la main, puis peint avant que d’être remonté
grâce à une aide de circonstance : une charmante présence
féminine est appréciable dans ce monde de brutalité.
Attention, on apprécie que la moto, pas l’aide mécanicienne
!!!
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Avant
de passer aux opérations mécaniques sérieuses,
c’est au tour des plastiques du tableau de bord d’être
traités avec soin : elle a vraiment une drôle
de tête cette moto, non ? Ne mélangeons pas les
genres, ces chiffons de protection ne sont pas des signes
ostensibles distinctifs mais seulement une précaution
pour ne pas abîmer les autres pièces de la moto.

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La
réfection de l’embrayage (changement des ressorts)
et le remplacement de la chaîne d’alternateur et son
tendeur n’ont pas été une mince affaire... De
manière tout à fait incompréhensible, l’allumage
était déréglé : il a fallu changé
le doigt d’allumage et le régler (long, long, long...)
Je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager la vision
des entrailles de la bête.
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MÉCANIQUE TRANSCENDANTALE - 
Je
sais bien que c’est une Kawa, mais avouez quand même
qu’Irimajiri, le créateur des moteurs de nos Bol d’Or,
a fortement inspiré cette architecture mécanique.
Peu
de moteurs sont techniquement beaux, mais ceux des Bol d’Or,
des GPZ et des Four sont quand même tout à fait particuliers
: que celui dont le coeur n’a jamais vibré ne serait
ce qu’à l’évocation de ces machines, me
jette la première pierre...

Il
y a du sentiment dans cette systématique mécanique
: l’homo sapiens habite l’homo faber, l’homme
qui pense habite l’homme qui fabrique...
Toujours
la suite par ici ......
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